Après les succès de cinefan2005 et cinefan2006 voilà la nouvelle version.
Voici la liste de tous les films vu en salle depuis 2007. Des grosses comédies populaires au drames intimiste (presque) tout le cinéma est là majoritérement vu en VO.
***** A voir absolument une bombe
**** A voir
*** A voir si vous aimez le genre
** Bof faut vraiment aimer
* Nul à éviter
° Surtout ne pas y aller
N'hésitez pas à donner vos avis sur les films.
La fiche des films est régulierrement mis à jour selon vos avis et le box-office. Les acteurs soulignés c'est ceux qui sont bons dans le film
Top 20 2007
1 Election
2 Appocalypto
3 The fountain
4 Cashback
5 Le serpent
6 Daratt
7 Congorama
clément, Posté le lundi 16 juin 2008 13:05
T'as raison ce film c'est trop d'la tuerie et on comprent vite que c'est Christofe Colomb qui arrive à la fin .Tot simplement ce film est une merveille.
lamissdu7333, Posté le samedi 27 octobre 2007 09:06
J'aime trop ce film <333
caroloturk, Posté le mercredi 08 août 2007 02:26
bahhhh!! il est decconer ce film .. j lai telecharger ya 6 mois et j vien d l'acheter .. du grand art . BRAVO GIBSON
youss montana 93 , Posté le lundi 21 mai 2007 18:54
c'est et putin de bon de film comme la passion du crist sa ma montre mon histoir comme chui babylonien je conprenai le langage ke parler jesus dans le film sisi 93 en force
x-lud0w-x, Posté le mercredi 02 mai 2007 09:41
wui ca alair vraimen tro bien
films-horreur16, Posté le jeudi 15 février 2007 10:54
Sa Lair Vraiment Bon Ce Film La!! Passe faire un tour sur mon blog et lache tes coms
pam, Posté le vendredi 09 février 2007 08:34
Pourquoi dis-tu que Mel Gibson a pété un plomb lorqu'il a tourné "La Passion du Christ" ?
Ce film m'a bouleversé car c'est en vérité bien plus qu'une oeuvre cinématographique...!
bande-anonce, Posté le dimanche 28 janvier 2007 17:41
génial j'ai adoré
Glorya, Posté le mardi 23 janvier 2007 08:27
J'avais vraiment enie de voir ce film et je crois bien que maintenant j'ai encore plus envie de le voir!
Michael, Posté le mardi 23 janvier 2007 07:51
Ca fait longtemps déjà que je trouve Mel Gibson remarquable, en tant que cinéaste.
Après avoir prouvé très longtemps de quoi il était capable en tant qu'acteur, il a décidé de passer à la réalisation de manière assez admirable.
Cela a commencé par "L'homme sans visage", chronique dramatique et merveilleuse d'un jeune homme qui cherche de l'aide auprès d'un vieil homme défiguré. Film marquant, par son traitement dur et précis de l'humanité, ou l'animalité humaine.
Déjà, on sent un cinéaste marqué par la violence, même que très peu représentative, l'homme défiguré montre la violence antérieurement vécue, et marque alors le film de son empreinte, même indirecte.
Nous sommes en 1994, soit au beau milieu des années 90 hollywoodiennes.
Un vecteur important de l'industrie cinématographique.
Ce coup d'essai annonce le cinéma Gibsonien, mais ne l'imprime pas encore dans l'esprit d'un spectateur qui découvre des films libérés et divertissants.
Il faudra attendre un an de plus, en 1995, pour voir "Braveheart", le film le plus marquant pour toute une génération de jeunes cinéphiles.
J'avais alors 11 ans. Je découvre sur les écrans une fascinante chronique guerrière, le courage et la rédemption d'un homme qui s'est battu pour son peuple.
La mise en scène d'un Gibson que l'on sent envahit d'une rage certaine annonce la couleur d'un long métrage pas comme les autres.
Les premiers plans ne trompent pas, des gens pendus dans une vieille auberge, les tripes à l'air. Assurément, Mel Gibson se fera le porte parole d'un cinéma clairement engagé. Non pas sur un plan politique, ou pas seulement, mais dans une moindre mesure, d'un point de vue purement éthique.
Maître de ses convictions, de ses choix artistiques, Gibson remportera l'oscar du meilleur réalisateur, pendant que son film en décrochera encore 4 autres, dont les principaux.
Période de calme, comme libéré d'un poid et après avoir tâté le haut de la pyramide, gagnant la plus prestigieuse des cérémonies, il reste en retrait quelques temps, côté mise en scène pour n'apparaître qu'en acteur dans "les films des autres" comme il peut à présent raisonner.
Vient alors le temps des polémiques, l'homme dérange, joue avec la justice. Le Gibson violent se révèle, jusque dans ses choix de films. Le fou mental dans "Complots" de Richard Donner, qu'il retrouve après les trois premiers volets de "L'Arme Fatale" et juste avant le quatrième et ultime ?.
Mais on le retrouve aussi dans "Payback" magnifique descente aux enfers, durant laquelle, le temps d'une scène dirigée par Gibson lui même, il n'hésite pas à avoir recours à de la barbarie.
Son personnage de Porter, se fait littéralement massacré dans une admirable scène de torture physique.
La révélation, ou le film clé de Gibson, il l'a doit à Shyamalan, auteur qui finalement, n'est pas si éloigné de Gibson dans son approche cinématographique. Je ne parle évidemment pas du traitement des thèmatiques, mais de la mise en scène, très similaire.
Ce film, "Signes" comme un signe du destin, comme la rencontre de deux auteurs, indépendants dans le brouillard hollywoodien, comme deux auteurs pas totalement reconnus, ou pas totalement compris.
Son personnage, un prêtre qui a perdu la foi. Etrange ressemblance avec le Gibson de tous les jours. Comme s'il jouait là, le rôle de sa vie, le rôle de sa propre rédemption. Celle de Wallace, dans "Braveheart", de Porter dans "Payback" ou celle qu'il offre à l'acteur Jim Caviezel dans "La Passion du Christ", son futur chef d'oeuvre.
Justement, en 2004 sort le film le plus controversé de Mel Gibson, je parle de sa carrière en règle générale,, acteur comme réalisateur.
Les derniers jours de Jésus, qui finira massacré et totalement salit par son peuple et par les hautes instances de l'époque.
Une chronique guerrière une nouvelle fois. Tournée en araméen et en hébreux, pour la rendre plus crédible et surtout, marquer le cinéma de son empreinte.
Film d'une rare violence, violence à laquelle le public n'était plus habitué.
Pessimisme ravageur, cruel destin, barbarie volontaire, antisémitisme, on a critiqué Gibson, lui donnant à peu près tous les noms d'oiseaux. On a crié au scandale, réfutant une éventuelle réalité de l'époque.
Oui, Gibson devenait l'ennemi public numéro un, parce qu'il avait osé titiller la croyance, lui, homme de foi.
Oui, Gibson devenait l'ennemi à abattre. Mutilé de toutes parts, amputé de la moindre chance de devenir un grand cinéaste, on lui en a longtemps voulu d'avoir oser.
Tout comme on en a voulu au dernier Shyamalan, de se moquer du système hollywoodien, en qualifiant sa dernière oeuvre de conte absurde, dénuée d'un quelconque intérêt.
Mal aimé Gibson ? oui, en ayant voulu devenir celui qu'on ne veut pas écouter. Oui, en ayant voulu prouver son talent de cinéaste, en proposant des choses différentes, marquantes, mais issues de l'esprit d'un homme déjà pas comme les autres.
Difficile de se remettre d'une telle humiliation, bien que sa "Passion du Christ" ait attirée les foules, la plaie reste béante.
L'homme, le croit-on, aura du mal à se relever.
L'homme à abattre semble sur son lit de mort, comme jadis, Porter l'était dans "Payback" ou Wallace à la fin de "Braveheart" lorsqu'il criait le désormais célèbre "Libertééééé".
Pourtant, fièrement, Gibson annonce qu'il adaptera à l'écran, un film sur les légendes Maya, tourné dans une langue morte.
Etrangement, après être resté sur son lit de mort, il annonce le titre. Un curieux et symbolique "Apocalypto". Comme la fin du monde ? ou comme une renaissance, un nouveau départ ?.
Peut être un peu des deux, le film sort, la polémique l'entoure, comme toujours et depuis chez ce cinéaste.
D'un coup de poing à la gueule des critiques, des spectateurs, Gibson assène le coup de grâce. Son nouveau film est un chef d'oeuvre. Une merveille cinématographique qui ponctue provisoirement, des années de polémiques, emportant avec "Patte de Jaguar", le vestiges d'une course poursuite entre lui et son public.
"Apocalypto", oeuvre sublime, d'une puissance rare, d'une rage permanente qui dans ses 45 dernières minutes, fait preuve d'un génie rarement atteint.
Gibson, en Orson Welles des temps modernes, mal aimé, oublié, lynché, s'est relevé de fort belle manière, là ou d'autres y auraient laissé des plumes...
Donc oui, Mel Gibson, grand cinéaste. Mais comme souvent chez les génies, il faut attendre leurs morts, pour comprendre la force de leur vivant.
Je n'attendrai pas... Pour moi Gibson, est un immense cinéaste...
acte.skyblog.com
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nobodysmith, Posté le lundi 22 janvier 2007 14:55
bon film d'aventures, ça c'est sur. malheureusement le film promettait tellement plus avec son fonds qu'il est regrettable de voir l'oeuvre aussi superficiel sur ce point.
gustocinema, Posté le lundi 22 janvier 2007 06:58
Ce film semble frimeur et ultra-violent, à l'image de la Passion... Sans moi.
batman1985, Posté le dimanche 21 janvier 2007 16:58
L'une de mes plus grandes attentes de cette année!
Benoît
raul-du93, Posté le dimanche 21 janvier 2007 15:23
je suis en totale accord avec toi pour ce film j'ai adoré le meilleur film de gibson a la réalisation comme je les dit sur mon blog c'est un putain de bon films d'aventures
cinevisions7, Posté le dimanche 21 janvier 2007 11:41
Raaah pas pu ce WE mais je vias me rattrapper...
star-cinema206, Posté le mercredi 06 août 2008 07:33
voici mon blog si vous aimez visiter!j'éspére que vous ne regreterai po star-cinema206.skyrock.com