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Cinéma films, acteurs, réalisateurs, stars, critiques, box-office, étoiles, sexe, drogue, DVD

Photo de cinefan2007

cinefan2007

Description :

Après les succès de cinefan2005 et cinefan2006 voilà la nouvelle version.
Voici la liste de tous les films vu en salle depuis 2007. Des grosses comédies populaires au drames intimiste (presque) tout le cinéma est là majoritérement vu en VO.
***** A voir absolument une bombe
**** A voir
*** A voir si vous aimez le genre
** Bof faut vraiment aimer
* Nul à éviter
° Surtout ne pas y aller
N'hésitez pas à donner vos avis sur les films.
La fiche des films est régulierrement mis à jour selon vos avis et le box-office. Les acteurs soulignés c'est ceux qui sont bons dans le film

Top 20 2007

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Appocalypto

La passion du risque

Appocalypto

Aventure de Mel Gibson (US)

avec Rudy Youngblood, Raoul Trejillo, Dalia Hernandez, Jonathan Brewer, Carlos Emilio Baez

A l'époque des Mayas, une tribu vit paisiblement avant de se faire attaquer par une autre

***** Mel Gibson est surement l'une des personalités que j'aime le moins dans le cinéma américain. Voilà je voulais le préciser avant de faire les louanges de ce putain de grand film d'aventures ! Alors voilà: l'histoire ? Des tribus mayas percés, tatoué et en string vivent en paix dans une jungle aussi hostile que celle de Kho Lanta. Mel Gibson a donc la prétention de nous présenter la culture Maya. C'est justement ce côté du film, Gibson présentant les Mayas de sa façon, comme un peuple sanguianire et en partie responsable de leur extinction., qui fait débat. Perso j'ai fait abstraction du coté historique du film pour me concentrer sur le film d'aventure plapitant et c'est bien mieux comme ça. On peut quand même saluer la métaphore pacifiste et le messagehumaniste du film. Car, ce film est tout simplement hallucinant. Dèja il faut oser à Hollywood pour sortir un film intégralement tourné en langue morte, sur une civilisation disparue. Malgré tout, on retrouve comme dans chaque films US qui se respectent un héros de cinéma charismatique, attachant et super fort ! Le personnage de Patte de Jaguar a bien sa place dans le panthéon des grands héros de cinéma ! Gibson a crée un super homme, un héros digne des grands personnages du cinéma US. En résumé on peut définir Appocalypto comme le plus grand film d'aventure de ce début du siècle. La force de ce film tient en 2 mots: originalité et audace. Après les millions engrangés par La passion du Christ, Gibson a fait le film qu'il voulait sans se soucier des producteurs. Il a fait un film ambitieux, audacieux, un film comme on en a jamais vu ! Gibson signe une mise en scéne très élaborée. Des scénes "calmes" aux scénes d'actions la mise en scéne est très travaillée et sort de l'ordinaire. La photo est magnifique, et le film est une réussite visuelle compléte. Vu la rareté des acteusr mayas, le casting repose donc sur des acteurs inconnus. Mais la fraicheur du casting offre une réelle force au film. Les acteurs sont habités par les personnages et leur donne une dimensiion supérieure. Le film peut se diviser en 3 parties. Au début on voit une petite communauté qui vit tranquillement. Amusante et attachante cette partie est très plaisante. Puis vient la violence. L'attaque d'une autre communanté. Violenc, barabarie, les "méchants" sont montrés comme des monstres. On peut reprocher le manque de profondeur de ces personnages et le manihceisme du film mais rappellons nous que c'est bien du Gibson ! C'est là aussi que viennet les scénes les plus spectaculaires. La cité mayenne est montrée de façon bluffante, les décors et la reconstruction étant un coup de maitre. Puis vient la 3ème partie, la plus forte. Une course poursuite effrénée dans la jungle amazonienne. Entre une nature plutot hostile, des guerriers acharnés et un héros à la dérive, on assiste à l'une des plsu grandes poursuites de l'histoire du cinéma. Action effrénée, suspens, tension, Gibson réunit tous les ingrédients qui font un putain de grand film d'aventure et en fait la réussite escomptée. Trépidant, passionant, original et audacieux, Gibson réussit à faire de son film, un oeuvre à part réussit de bout en bout, un film au visuel bluffant et au scénario passionant ! J'ai autant aimé ce film que je n'aime pas Gibson c'est dire si je vous conseille ce film !

++ Appocalypto signifie en grec "Nouveau départ"
Seul Rudy Youngblood n'avait jamais joué dans un film avant. Les autres acteurs avaient tous eu au moins un petit rôle avant.
Le film a ét étourné en langage mayen ce qui est sa principale particularité... Il n'y a qu'en France qu'il a été fait une VF !

Le réalisateur: Mel Gibson
Si il est aujourdh'ui une des personalités les plus contreversées d'Hollywood, il a pourtant eu une carrière presque banale du moins à ses débuts. Cet australien débute au cinéma dans un thriller puis devient une star grace à Mad max. Il est La star du cinéma austrliane puis immigre à Hollywood au début des années 80 avec Le bounty. C'est avec L'arme fatale que Gibson devient une star d'Hollywood. Il tourne relativement peu et enchaine les succès. Il ose en jouant Hamlet et jouent aussi beauocup de suites dont les multiples de L'arme fatale. En 1994, il réalise son premier film L'homme sans visage puis enchaine avec Braveheart un nouveau gros succès qui confirme son statut de star. Il enchaine les films de bonne facture telle Complots ou Maverick. Après ses réussites derrière la caméra, il tourne enfin pleins de films et enchaine les succès de genres différents comme Ce que veulent les femmes ou Signes. Puis il péte un plomb, s'exclue d'Hollywood et va tourner La passion du Christ avec la polémique et le carton qu'on lui connait. Après ce film il enchaine donc avec ce nouveau projet atypique Appocalypo qui est pour moi ça plus grande réussite ! Personnage à part, dingue, contreversé, ce type ne me plait pas beaucoup mais je reconnais qu'il a su faire de Appocalypto une pure bombe !

Film avec Mel Gibson: Signes

La polémique du film:
Le film le plus violent de l'histoire du cinéma a t on entendu ici et là... 2 mois après Saw III interdit aux moins de 18 ans ce film (qui n'est qu'interdit aux moins de 12) et une semaine avant Traunds interdit aux moins de 16, les journalistes se ridiculisent. Hélas impossible de voir de l'antisemitisme dans ce film donc pas d'autre moyen pour ces scribouillards de descendre Mel Gibson... Perso je n'aime aps le personnage, je n'aime ni ces valurs ni ces idées et pas la majorité de sa filmo. Malgré ma forte antipathie envers cet homme je le reconnais: ce film est grandiose et là y'à pas de quoi polémiquer !

Box-office: Demmarage poussif avec un peu plus de 200 000 entrées en une semaine

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#Posté le lundi 15 janvier 2007 18:04

Modifié le dimanche 21 janvier 2007 08:13

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star-cinema206, Posté le mercredi 06 août 2008 07:33

voici mon blog si vous aimez visiter!j'éspére que vous ne regreterai po star-cinema206.skyrock.com


clément, Posté le lundi 16 juin 2008 13:05

T'as raison ce film c'est trop d'la tuerie et on comprent vite que c'est Christofe Colomb qui arrive à la fin .Tot simplement ce film est une merveille.


lamissdu7333, Posté le samedi 27 octobre 2007 09:06

J'aime trop ce film <333


caroloturk, Posté le mercredi 08 août 2007 02:26

bahhhh!! il est decconer ce film .. j lai telecharger ya 6 mois et j vien d l'acheter .. du grand art . BRAVO GIBSON


youss montana 93 , Posté le lundi 21 mai 2007 18:54

c'est et putin de bon de film comme la passion du crist sa ma montre mon histoir comme chui babylonien je conprenai le langage ke parler jesus dans le film sisi 93 en force


x-lud0w-x, Posté le mercredi 02 mai 2007 09:41

wui ca alair vraimen tro bien


films-horreur16, Posté le jeudi 15 février 2007 10:54

Sa Lair Vraiment Bon Ce Film La!! Passe faire un tour sur mon blog et lache tes coms


pam, Posté le vendredi 09 février 2007 08:34

Pourquoi dis-tu que Mel Gibson a pété un plomb lorqu'il a tourné "La Passion du Christ" ?

Ce film m'a bouleversé car c'est en vérité bien plus qu'une oeuvre cinématographique...!


bande-anonce, Posté le dimanche 28 janvier 2007 17:41

génial j'ai adoré


Glorya, Posté le mardi 23 janvier 2007 08:27

J'avais vraiment enie de voir ce film et je crois bien que maintenant j'ai encore plus envie de le voir!


Michael, Posté le mardi 23 janvier 2007 07:51

Ca fait longtemps déjà que je trouve Mel Gibson remarquable, en tant que cinéaste.
Après avoir prouvé très longtemps de quoi il était capable en tant qu'acteur, il a décidé de passer à la réalisation de manière assez admirable.

Cela a commencé par "L'homme sans visage", chronique dramatique et merveilleuse d'un jeune homme qui cherche de l'aide auprès d'un vieil homme défiguré. Film marquant, par son traitement dur et précis de l'humanité, ou l'animalité humaine.

Déjà, on sent un cinéaste marqué par la violence, même que très peu représentative, l'homme défiguré montre la violence antérieurement vécue, et marque alors le film de son empreinte, même indirecte.

Nous sommes en 1994, soit au beau milieu des années 90 hollywoodiennes.
Un vecteur important de l'industrie cinématographique.

Ce coup d'essai annonce le cinéma Gibsonien, mais ne l'imprime pas encore dans l'esprit d'un spectateur qui découvre des films libérés et divertissants.

Il faudra attendre un an de plus, en 1995, pour voir "Braveheart", le film le plus marquant pour toute une génération de jeunes cinéphiles.
J'avais alors 11 ans. Je découvre sur les écrans une fascinante chronique guerrière, le courage et la rédemption d'un homme qui s'est battu pour son peuple.
La mise en scène d'un Gibson que l'on sent envahit d'une rage certaine annonce la couleur d'un long métrage pas comme les autres.

Les premiers plans ne trompent pas, des gens pendus dans une vieille auberge, les tripes à l'air. Assurément, Mel Gibson se fera le porte parole d'un cinéma clairement engagé. Non pas sur un plan politique, ou pas seulement, mais dans une moindre mesure, d'un point de vue purement éthique.

Maître de ses convictions, de ses choix artistiques, Gibson remportera l'oscar du meilleur réalisateur, pendant que son film en décrochera encore 4 autres, dont les principaux.

Période de calme, comme libéré d'un poid et après avoir tâté le haut de la pyramide, gagnant la plus prestigieuse des cérémonies, il reste en retrait quelques temps, côté mise en scène pour n'apparaître qu'en acteur dans "les films des autres" comme il peut à présent raisonner.

Vient alors le temps des polémiques, l'homme dérange, joue avec la justice. Le Gibson violent se révèle, jusque dans ses choix de films. Le fou mental dans "Complots" de Richard Donner, qu'il retrouve après les trois premiers volets de "L'Arme Fatale" et juste avant le quatrième et ultime ?.

Mais on le retrouve aussi dans "Payback" magnifique descente aux enfers, durant laquelle, le temps d'une scène dirigée par Gibson lui même, il n'hésite pas à avoir recours à de la barbarie.
Son personnage de Porter, se fait littéralement massacré dans une admirable scène de torture physique.

La révélation, ou le film clé de Gibson, il l'a doit à Shyamalan, auteur qui finalement, n'est pas si éloigné de Gibson dans son approche cinématographique. Je ne parle évidemment pas du traitement des thèmatiques, mais de la mise en scène, très similaire.

Ce film, "Signes" comme un signe du destin, comme la rencontre de deux auteurs, indépendants dans le brouillard hollywoodien, comme deux auteurs pas totalement reconnus, ou pas totalement compris.

Son personnage, un prêtre qui a perdu la foi. Etrange ressemblance avec le Gibson de tous les jours. Comme s'il jouait là, le rôle de sa vie, le rôle de sa propre rédemption. Celle de Wallace, dans "Braveheart", de Porter dans "Payback" ou celle qu'il offre à l'acteur Jim Caviezel dans "La Passion du Christ", son futur chef d'oeuvre.

Justement, en 2004 sort le film le plus controversé de Mel Gibson, je parle de sa carrière en règle générale,, acteur comme réalisateur.
Les derniers jours de Jésus, qui finira massacré et totalement salit par son peuple et par les hautes instances de l'époque.
Une chronique guerrière une nouvelle fois. Tournée en araméen et en hébreux, pour la rendre plus crédible et surtout, marquer le cinéma de son empreinte.

Film d'une rare violence, violence à laquelle le public n'était plus habitué.
Pessimisme ravageur, cruel destin, barbarie volontaire, antisémitisme, on a critiqué Gibson, lui donnant à peu près tous les noms d'oiseaux. On a crié au scandale, réfutant une éventuelle réalité de l'époque.

Oui, Gibson devenait l'ennemi public numéro un, parce qu'il avait osé titiller la croyance, lui, homme de foi.

Oui, Gibson devenait l'ennemi à abattre. Mutilé de toutes parts, amputé de la moindre chance de devenir un grand cinéaste, on lui en a longtemps voulu d'avoir oser.

Tout comme on en a voulu au dernier Shyamalan, de se moquer du système hollywoodien, en qualifiant sa dernière oeuvre de conte absurde, dénuée d'un quelconque intérêt.

Mal aimé Gibson ? oui, en ayant voulu devenir celui qu'on ne veut pas écouter. Oui, en ayant voulu prouver son talent de cinéaste, en proposant des choses différentes, marquantes, mais issues de l'esprit d'un homme déjà pas comme les autres.

Difficile de se remettre d'une telle humiliation, bien que sa "Passion du Christ" ait attirée les foules, la plaie reste béante.
L'homme, le croit-on, aura du mal à se relever.
L'homme à abattre semble sur son lit de mort, comme jadis, Porter l'était dans "Payback" ou Wallace à la fin de "Braveheart" lorsqu'il criait le désormais célèbre "Libertééééé".

Pourtant, fièrement, Gibson annonce qu'il adaptera à l'écran, un film sur les légendes Maya, tourné dans une langue morte.
Etrangement, après être resté sur son lit de mort, il annonce le titre. Un curieux et symbolique "Apocalypto". Comme la fin du monde ? ou comme une renaissance, un nouveau départ ?.

Peut être un peu des deux, le film sort, la polémique l'entoure, comme toujours et depuis chez ce cinéaste.

D'un coup de poing à la gueule des critiques, des spectateurs, Gibson assène le coup de grâce. Son nouveau film est un chef d'oeuvre. Une merveille cinématographique qui ponctue provisoirement, des années de polémiques, emportant avec "Patte de Jaguar", le vestiges d'une course poursuite entre lui et son public.

"Apocalypto", oeuvre sublime, d'une puissance rare, d'une rage permanente qui dans ses 45 dernières minutes, fait preuve d'un génie rarement atteint.

Gibson, en Orson Welles des temps modernes, mal aimé, oublié, lynché, s'est relevé de fort belle manière, là ou d'autres y auraient laissé des plumes...

Donc oui, Mel Gibson, grand cinéaste. Mais comme souvent chez les génies, il faut attendre leurs morts, pour comprendre la force de leur vivant.

Je n'attendrai pas... Pour moi Gibson, est un immense cinéaste...

acte.skyblog.com
actee.canalblog.com


nobodysmith, Posté le lundi 22 janvier 2007 14:55

bon film d'aventures, ça c'est sur. malheureusement le film promettait tellement plus avec son fonds qu'il est regrettable de voir l'oeuvre aussi superficiel sur ce point.


gustocinema, Posté le lundi 22 janvier 2007 06:58

Ce film semble frimeur et ultra-violent, à l'image de la Passion... Sans moi.


batman1985, Posté le dimanche 21 janvier 2007 16:58

L'une de mes plus grandes attentes de cette année!

Benoît


raul-du93, Posté le dimanche 21 janvier 2007 15:23

je suis en totale accord avec toi pour ce film j'ai adoré le meilleur film de gibson a la réalisation comme je les dit sur mon blog c'est un putain de bon films d'aventures


cinevisions7, Posté le dimanche 21 janvier 2007 11:41

Raaah pas pu ce WE mais je vias me rattrapper...


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